Tara dans son jardin.
Tara : Je suis foutue, encore une dois je me suis révéillée dans un lit toute nue à côté de la femme du supermarché, qui a deux enfants et un fauteuil-relax. Je sais pas ce que Buck faisait chez elle, mais je crains le pire. Ca fait deux semaines que Buck est revenu emprunter mon corps, il a dit qu'il n'en avait besoin que quelques heures, mouais, que quelques heures par jour.
Flash : Chez la femme du supermaché.
Enfant #1 : Je me sers.
Enfant #2 : Je veux celui-là.
Enfant #1 : Je l'ai pris avant.
Enfant #2 : J'ai dit que je le voulais
Tara : Ce que je voudrais comprendre, c'est pourquoi ça arrive maintenant ? A la maison tout se passe très bien, les enfant sont épanouis, Max n'a jamais été aussi heureux, il n'arrête pas de dire, qu'il m'a jamais vu aller aussi bien. Ce qu'il sait pas, c'est que pour la première fois de ma vie, j'ai commencé à mentir. C'est vrai mes alters-égos avaient déjà menti, mais moi, Tara, jamais jusque là. J'arrive pas à lui dire que je recommence à changer d'identité, ça lui briserait le coeur.
Dans la maison de Tara.
Max : J'aurais besoin d'une nouvelle boite de Dépaquot*, non non il me reste encore du Risperdal*. Où vous en êtes avec le ***, parce que je voudrais pas qui lui en manque.
Tara : Ah, t'as besoin de tout ça pour tenir le coup, tu vas finir accro.
Max : Parfait, génial, je passe prendre ça tout à l'heure, merci. C'était la pharmacie.
Tara : Je le savais.
Max : Waw, t'es jolie comme ça !
Kate : Baisable. Elle est baisable comme ça. Oh vous en faites pas, je suis habituée. C'est le fardeau des enfants nés, d'une mère adolescente. Je devrais lancer un groupe intitulé : " Jeunes adultes dont on aimerait baiser la mère".
Max : Kate.
Kate : Monsieur. La maison de Aubard est à nous*. Hey, hey, notre offre est acceptée.
Tara : Hou, hou !
Kate : J'appele le gars des travaux.
Affaire à suivre ...