Dans la chambre de Tara, Marshall et Kate regardent les vidéos de Tara.
Tara (T.): J'en suis sûre, Tupac est vivant. Je l'ai vu manger de la tortilla dans cette crêperie à Prairie Village.
Kate : Tu fais quoi ?
Tara (T.): Oh oui, c'est sûr.
Marshall : Je pensais trouver des indices sur qui a détruit la fresque de Maman, dans l’une de ces vidéos.
Tara (T.): Regardez qui fait semblant d'être mort.
Marshall : C'est là que tu es censée devenir désobligeante et me traiter de Miss Marple en culottes courtes.
Kate : Il est trop tôt.
Max a accompagné Tara chez la psy.
Thérapeute : Tara s'est fait une amie. Tiffany était une menace pour le système.
Max : Donc un des doubles était jaloux ?
Thérapeute : Tara Et voulait faire partie de ce monde. Je sais que c'est effrayant, mais c'est ce qu'on voulait. Ne pas simplement les tolérer, mais apprendre à les connaître.
Max : Pour qu'on puisse comprendre ce qu'il t'est arrivé.
Thérapeute : Il s'agit juste d'un double qui montre une facette méconnue.
Tara : Génial, mes doubles ont des doubles.
Dans la chambre de Tara.
Kate : C'était moi.
Marshall : Ah oui ?
Kate : Oui.
Marshall : Donc t'es entrée chez Tiffany en plein milieu de la nuit ? OK. Et t'as utilisé quoi, pour graver " Crève, salope de bobo " sur le mur ?
Kate : Mes ongles féroces.
Tara (Alice) : Versez largement.
Marshall : L'interdiction d'approcher précise que le coupable a utilisé le couteau plat de Maman.
Kate : Donc on cherche qui est le plus con des doubles.
Marshall : C'est ça.
Tara (Alice) : Saleté !
Dans le cabinet de la psy.
Thérapeute : Tout le monde peut être agressif. Beaucoup de femmes ne savent pas qu'elles l'ont en elles, ce qu'on peut tout à fait comprendre. On ne nous encourage pas à l'exprimer, et nous n'avons aucun exutoire socialement accepté pour intégrer l'agressivité au quotidien, comme en ont les hommes.
Tara : Max n'en a pas.
Max : Bien sûr que si. Je fais du basket.
Tara : Je vais me risquer à dire, que dans notre situation, c'est peut-être pas assez.
Marshall : C'était peut-être Tante Charmaine. Une autre pitoyable tentative too much pour...
Kate : Écoute.
Tara (Buck) : Quand on saura qui je suis vraiment, ça changera tout.
Tara : J'imagine pas Alice lacérant le mur de quelqu'un.
Max : C'est sûr.
Tara : Ça pourrait être Buck. Mais je le vois plus écrire : " Viens me coller ta chatte de bobo. "
Tara (Buck) : Pas seulement ma vie, mais celles autour de moi. On en parlera pendant longtemps.
Max : Moi, je parie que c'est T.
Thérapeute : Intéressant.
Max : Allez. Elle est sournoise. Elle est versatile.
Tara (Buck) : Donc quand vous verrez de quoi je suis capable, vous saurez que j'ai des supers pouvoirs, connards !
Dans la rue, en sortant du cabinet du psy.
Max : J'adore comment tu reconnais les faits, même si c'était pas T.
Tara : Peut-être que je me souviens pas qu'Alice fait du poulet aux céréales, mais si les gosses ou toi me le dites, je sens que c'est vrai. Comme, un endroit dans mon cerveau où je peux aller.
Max : Oui, je comprends. Je vois que tu as des déclics.
Tara : Oui, mais là, aucun déclic. Je ne ressens rien. Je prendrais la responsabilité, honnêtement. Je crois que ce n'est pas moi.
Max : Vraiment ?
Tara : C'est peut-être l'ex-mari de Tiffany.
Max : C'est peut-être quelqu'un qui était vraiment fâché de pas perdre de poids.
Tara : Allez, un moyen que ce soit pas moi ?
Max : J'imagine que si.
Tara : Tu n'y crois pas vraiment. Tu crois que c'est moi. T'es mon mari. T'es pas censé me croire ?
Max : Allez, chérie. On est en retard. Allez, on parle de ça plus tard, quand on se voit.
Tara monte dans sa voiture sans répondre. C’est T. qui démarre.
Radio : Ils ne peuvent distribuer ce traitement spécifique qu'une fois par mois. Ça a déjà dévasté une trop grande...
T. : Putain de France Info.
A l’école de Marshall
Marshall : Ils arrivent. 5 min.
T. sort de la maison, elle croise Charmaine qui arrive, une plante à la main.
T. : Comment tu l'as tué ?
Charmaine : Il est pas encore mort. Max a dit qu'il jetterait un œil. Tara, tu vas où ? Tu dois pas aller à l'école de Marshall ? - T. ?
Charmaine (au téléphone) : Salut, Max. Oui, c'est moi. T. est de retour.
Max : Non, une chance que t'étais là. Charmaine, y a une chance que tu m'aides à la surveiller ? - Tu gagnes quoi ? Je sais pas. Un Mc Do offert, et... un bon karma, sans doute.
Max est arrivé à l’école de Marshal, qui le rejoint.
Max (au téléphone) : Merci. Écoute, je dois y aller. Salut. (A Marshall) Écoute, Maman va bien. Elle... Elle n'est pas vraiment elle-même.
Marshall : Elle a disparu ?
Max : Je suis sûr qu'elle est à cette salle de jeux qu'elle adore.
Marshall : Tu devrais y aller.
Max : Non, non. Je reste ici.
Marshall : Tu vas trépigner pendant tout le procès, de toute façon.
Max : Non.
Marshall : Allez, vas-y.
Max : OK, d'accord. Merci.
A la recherche de la salle de jeux.
Charmaine : Je déteste Fremont. Je ne comprends pas pourquoi elle choisit ses confiseries à plus de 300 km.
Max : Ce serait moins drôle. Je pensais à Tara et à ses amies. Tu sais si elle avait une copine à l'internat ? Quelqu'un qui était peut-être là, tu sais, quand ce qui est arrivé, est arrivé.
Charmaine : Je crois. Elle n’en a pas parlé ?
Max : J'ai demandé, mais je crois que ça la stresse que je veuille savoir.
Charmaine : Oui, je sais.
Max : Ah, tu sais ? Et qu'elle m'a dit aussi de trouver un autre loisir qu'elle ?
Charmaine : On n’arrêtait pas avec ça. Elle disait " train électrique. " Je pensais danse folklorique. Elle avait une copine d'internat. Je ne me souviens pas de son nom. Je me souviens qu'elle était grande à faire peur. Moi je ne méritais que l'école publique de merde, donc...
Max : Pourquoi ?
Charmaine : Je ne sais pas. Je ne sais pas ce que j'ai fait.
Max : Tu n'as peut-être rien fait.
Charmaine : Peut-être.
Dans la salle de jeux, T. danse sur un tapis de danse.
Charmaine : Super.
Max : Culottée, ma garce. Viens.
Marshall est rentré à la maison, son téléphone sonne.
Marshall : Salut, Papa. Tu l'as trouvée ?
Max : Oui, et elle n’a même pas d'ennuis.
Marshall : Pas encore. Tu ne l'as pas perdue de vue, hein ?
Max : Non, chef. Je l'ai, chef. On va rester un peu, OK ?
Marshall : OK, salut.
Max : Bien reçu.
T. : Oh oui, je vous prends quand vous voulez, pétasses.
Marshall vient voir Kate dans sa chambre.
Marshall : Je veux faire une fête.
Kate : Quoi ?
Marshall : Ils restent là-bas.
Kate : Tu veux faire une fête juste pour que ce Jason vienne.
Marshall : Non. J'ai toujours voulu faire une fête.
Kate : Tu détestes les fêtes.
Marshall : Les fêtes d'ados. Tu vois, j'irais au réveillon chez Woody Allen, ou, tu sais, si Noel Coward m'invite sur son bateau.
Kate : Désolée, Moosh, mais Jason ne viendra pas.
Marshall : Comment tu sais ?
Kate : Parce que ce serait une déclaration. Ça montrerait que tu lui plais.
Marshall : Peut-être que ça montrerait juste qu'il aime les fêtes, tu vois. Les fêtes raffinées, comme sera la mienne.
Kate : Bon, je crois que je peux passer quelques coups de fil.
Marshall : Merci.
Dans la salle de jeux.
T. : Son jeu de jambes vaut rien, et elle me défie au déchiffrage. Et moi : "Dégage, salope,
un petit coup de Thomas, mon bong. " Et là, j'ai fait un double au niveau 9, style, comme si j'étais en mode challenge. Pourquoi elle est là ?
Max : Parce qu'elle est sympa, et qu'elle a proposé de ramener la voiture de Tara.
Charmaine : Que je puisse me lever tôt, et aller bosser à la clinique. Parce que tes actions n'affectent pas que toi, espèce de fausse ado égocentrique.
T. : Et moi ?
Max : On va rester un peu.
T. : Tu déconnes ?
Max : Non, on va traîner, s'amuser. Pourquoi pas ?
T. : On va jouer à quoi ?
Charmaine : OK, salut.
Max : Non.
T. : Pourquoi on reste si on baise pas ?
Max : Bonne route, Charmie.
T. : Je peux baiser avec lui, au moins ?
Max : Non.
T. : Tu me laisses jamais rien faire.
Charmaine : Je crois que la copine de chambre de Tara s'appelait Heidi Troy, ou Heidi Sawyer peut-être. Ça t'aide ?
Max : Oui. Tu l'as dit.
Charmaine : D'accord.
Max : OK, merci.
A la maison, la fête se prépare.
Marshall : Je fais la collec depuis longtemps maintenant. J'ai commencé à Noël, à mes 8 ans.
Kate : Une fête au schnaps à la menthe ?
Marshall : Je t'avais dit que ce serait raffiné.
Tonya : Salut.
Kate : Comment t'as quitté le boulot ?
Tonya : J'ai dit à Gene que ma grand-mère est morte, et que je dois prier Shivah.
Kate : Pas mal, j'ai dit que j'avais mes règles. Oh, Moosh, les chrétiens sont là ! - Entrez !
Max sort des toilettes, T. est en train de flirter.
Copain : Bordel, tu fais quoi là ?
Max : Salut, T.
T. : Lâche-nous, bizarre inconnu !
Copain : Ouais, on partageait un moment, là !
Max : Ouais, en effet. C'est terminé. Je suis son mari. On y va.
Copain : Pardon ?
T. : Dans tes rêves, le vieux. Casse-toi !
Copain : Ouais, tu l'as entendue.
Sécurité : Pourquoi vous allez pas vous balader ?
Max : Oh, bordel. T., dis-leur qui je suis.
T. : Salut, j'ai 16 ans.
Max : Dans tes rêves, ma vieille.
Sécurité : Allez.
Max : Tu vires tes mains de là, le monstre. On dirait que je m'en vais.
Copain : Merci.
Max : Écoute, chef, tu ne sais pas ce qui se passe.
Kate retrouve Marshall assis par terre dans un coin de la cuisine. Jason n’est pas venu.
Kate : Allez, c'est quand même une bonne fête.
Marshall : Non, c'est faux.
Kate : Si ça peut te consoler, Ben est là avec sa nouvelle copine démoniaque.
Marshall : C'est quoi ce bordel ?
Kate : Je sais. Je l'ai invité.
Marshall : Ouais, mais pas elle. Pute de bas-étage.
Kate : Putain de bretzel.
Marshall : Jezebel.
Kate : Trou en sucre.
Marshall : Salope de chatte en fleur, suceuse de bites.
Jason : Marshall ?
Marshall : Oh, mon... mon Dieu. T'as pu venir...
Jason : Mec. La forme ?
Marshall : C'est ma... C'est ma cuisine.
Jason : J'aime bien. C'est sympa.
Max a attendu T. à l’extérieur.
Max : La fête est finie.
Copain : Il va y avoir un problème ?
T. : Ouais, sois pas si chiant, Papa. Rentre à la maison.
Copain : Attends. C'est ton père ?
Max : Oui, c'est exact. Je suis son père. Tu vas avoir des soucis, fillette.
T. : Fais pas attention à lui, mec.
Max attrape T. et la porte sur ses épaules.
Max : Content de t'avoir connu.
T. : Hé, appelle-moi.
Charmaine arrive chez Max et Tara. Gene est devant la porte.
Gène : Salut, ma belle.
Charmaine : C'est quoi ce bordel ?
Gène : Trois chances. Allez.
Charmaine : Je vais tuer ma nièce.
Gène : En tant que chef de Kate chez Barnabeez, je peux me porter garant. Elle est dévouée, elle travaille dur. Et je ne sais pas si vous connaissez la phrase, « Ceux qui travaillent dur, sont des durs mais c'est un peu ce qui se passe ici. Ça va aller.
Charmaine : La ferme.
Gène : On se parle... plus tard. T'as vu ça ? Ça s'est bien passé.
A l’intérieur.
Kate : Salut, Ben.
Ben : Ça gêne pas que je sois là ? Je veux dire, je veux pas que tu te sentes bizarre, donc...
Kate : Je me sens pas bizarre.
Ben : Tu me manques, Katie-Chan.
La copine : Benjamin.
Ben : J'arrive.
Max amène T. dans un motel.
Max : Fais moins de bruit. T., il y a d'autres... Arrête, laisse ça tranquille. Il y a des gens qui dorment ici.
T. : On va se baigner dans la piscine chauffée. Ou on peut vider le mini bar, mater un porno, puis aller se baigner.
Max : La piscine est fermée.
T. : Tu veux faire quoi ?
Max : Parler.
T. : Demande ce que tu veux.
Max : Qu'est-il arrivé à la fresque de Tiffany ?
T. : Quoi ?
Max : Je pensais que tu saurais comment elle a été abîmée.
T. : Oh, ça. Oh, Maxi-mum. Je veux t'aider. Tu le sais. Mais je peux pas t'en parler, à moins que tu me baises.
Max : OK
T. : Attends. Vous avez changé votre accord ?
Max : Pas vraiment. Tu veux le faire sur le lit, ou par terre ? Désolé, tu ne... t'attendais pas à un romantique ? Parce que je peux être ce gars.
T. : C'est quoi, ça ? Ashton Kutcher va sortir de derrière la plante, ou un truc comme ça ?
Max : Non, T., tu ne te fais pas piéger. Dis-moi pourquoi tu as blessé Tara.
T. : J'ai rien fait.
Max : S'il te plaît, ne me mens pas.
T. : Je mens pas.
Max : Tout est si simple pour toi, hein ? Elle aimait cette fresque. Elle aimait ce boulot. Tu devais le lui enlever, c'est ça ? - Tara ?
T. : Non, connard. Et j'ai pas bousillé la fresque de Tara.
Marshall : Je croyais que t'avais dit que s'il venait, ce serait une déclaration. Mais ce n'est pas une déclaration. C'est juste de la musique sur Jésus pour les filles.
Le téléphone de Max sonne.
Charmaine( au téléphone) : Max, tu dois rentrer.
Kate sort, Gène s’approche.
Tonya : Il nous faut vraiment de la bière, je ne rigole pas.
Kate : Je sais.
Gène : Je peux aider ?
Kate : Salut... Gene. Je savais pas que tu étais là.
Gène : Je suis content que tu ailles mieux. Je peux servir à quelque chose ?
Kate : En fait, oui. Si ça ne t'ennuie pas.
Gène : Tant que vous ne conduisez pas en ayant bu.
Kate : Pas nous, Gene. Bien sûr que non.
Gène : Prouvons-le.
Ben : Qu'est-ce qu'il se passe ?
Kate : Rien, Ben.
Ben : C'est qui le bouffon ?
Kate : C'est mon patron. On y va.
Kate entraine Gene vers sa voiture.
Gène : Bonne idée. Sympa, ton chapeau.
Charmaine : Katie, tu vas où ? Tu peux pas quitter ta propre fête !
Dans la voiture de Gène, qui roule.
Kate : Merci de m'avoir sauvée.
Gène : De rien, très chère.
Kate : Comment t'es parti du boulot ? T'es pas censé gérer ce soir ?
Gène : Tout est sous contrôle. Bipper. Tout va bien.
Max entre dans sa maison.
Max : On y va. La fête est finie.
T. : Non !
Marshall : J'espère juste qu'il y a toujours une place pour moi, tu vois ?
Jason : Tu as toujours une place, mec.
Marshall : Non, pas comme une place de parking.
T. : Putain, Marshy, dans quel état tu t'es mis ? C'est qui ?
Jason : Jason.
T. : Quoi de neuf, Jason ?
Jason : Pas grand-chose.
T. : T'es homo, au moins ?
Jason : Quoi ?
T. : Mec ou fille ? Qui fait envie ?
Marshall : S'il te plaît... Fiche-lui la paix, OK ?
T. : OK. Mec, tu sens le dentifrice.
Marshall : Ne fume pas ici.
T. : Je voulais juste aider.
Marshall : Bien. Tu peux écrire "Crève, salope de bobo " sur cette serviette ?
Dans la voiture de Gene.
Kate : Chouette tasse.
Gène : Ouais, une de mes inventions. Je te trouve canon.
Kate : Merci.
Gène : Et tu as ce qu'il faut pour aller loin, au boulot. Mais... J'ai été blessé trop souvent.
Kate : Désolée.
Gène : La plupart des mecs peuvent... Ils ont des relations sexuelles jour après jour, et s'en fichent, mais c'est pas mon genre, poulette. Surtout avec quelqu'un dont je pourrais tomber amoureux. - Voilà ma maison.
Kate : Oh, c'est ta maison ?
Gène : Si un jour tu veux passer, et...
Kate : Ne pas avoir de rapports sexuels ?
Gène : Autant pour moi.
Max : Charmaine, laisse ça, d'accord ? Je m'en occupe. Rentre chez toi.
Charmaine : OK, je prends juste des lasagnes.
Max : Où est ta sœur ?
Marshall : Avec Gene Stuart.
T. : Il est canon.
Max : On ne fume pas ici, OK ?
Marshall : C'est ce que j'ai dit.
Kate rente enfin.
Max : Putain.
Kate : Désolée. C'est de ma faute. La fête était mon idée.
Marshall : C'est faux.
Charmaine : Dieu merci, tu vas bien, Katie. On était inquiets.
T. : Katie est une grande fille. T'as baisé ? Je crois que Marshy non.
Max : T., si tu allais à la cabane, te détendre ?
Charmaine : Ouais, super idée.
Marshall : Je croyais qu'elle était partie.
Max : Rentre chez toi.
Charmaine : Je voulais juste aider.
T. : Je voulais juste aider, Maxi. Je voulais juste aider. - Je crois que tu ne devrais vraiment pas me juger comme ça.
Marshall : Mon Dieu, tais-toi.
T. : Tu aurais dû le voir. Je lui plais trop. Ton père est en rut...
Marshall : Ferme-la, T. !
T'as pas créé assez de problèmes ?
T. : Pardon ?
Marshall : C'est de toi, le " Crève, salope de bobo " sur la fresque de Maman.
T. : Pas vrai. Pourquoi tout le monde pense que c'est moi ?
Marshall : Parce que c'est toujours toi. Tu as donné la pilule du lendemain à Katie. Tu as volé des soutiens-gorge. T'as ruiné la fresque de Maman. Puis elle est partie, et Papa a dû partir te chercher. Donc, Papa et Maman ont loupé mes Portes Ouvertes. Comme ils ont loupé le procès, le jour Aztèque, ma réunion parents-profs, et la bataille de Little Big Horn.
Max : Chéri, je suis désolé.
Marshall : C'est pas de ta faute, c'est la sienne ! Es-tu ma mère ?
T. : Trop pas.
Marshall : Alors pourquoi es-tu dans ma mère ?
T. : Je sais pas.
Marshall : Je veux ma vraie mère, et uniquement elle, et aucun de vous, les tarés. Juste elle. Les autres, dégagez !
Max : T. n'a pas bousillé la fresque, Marsh. Viens.
Marshall : Alors, qui ?
Max : Je ne sais pas.
Marshall est assis sur le perron, T. vient le rejoindre pour fumer.
Marshall : T'es encore là ?
T. : Je suis désolée.