Max et Tara sont dans le cabinet du docteur Ocean.
Thérapeute : Bon... Parlons du nouveau double.
Tara : Je peux dire que je trouve vraiment bizarre que vous ayez parlé de moi en mon absence. Je sais que parfois, Max et moi venons ensemble, mais, vous n'êtes pas censée être ma thérapeute ?
Thérapeute : Bien sûr que si.
Max : C'est ma faute, je suis venu.
Thérapeute : Il n'y a eu aucune violation de confidentialité.
Tara : On était en crise ? Enfin, j'étais une menace pour les autres, ou moi-même ?
Max : Je savais pas ce que c'était. Je voulais juste te soutenir.
Tara : Je me sens pas soutenue. Je me sens un peu trahie.
Max : Génial.
Thérapeute : Je peux faire quoi, de suite ?
Tara : Vous pouvez m'aider à comprendre Gimme ?
Thérapeute : Je crois que Gimme porte toutes vos émotions brutes. C'est le boulot de Gimme d'empêcher la vérité de sortir.
Max : Je connais le nom du type.
Tara : Tu quoi ?
Max : Je connais le nom du type de l'internat.
Tara : Vous savez quoi ? Désolée, mais je peux pas gérer ça.
Thérapeute : J'aimerais que vous restiez. À vous de voir. C'est sa séance.
Tara sort, Max la suit dans la rue.
Max : J'ai rencontré ta copine de chambre, Heidi.
Tara : Quoi ?
Max : J'ai rencontré Heidi. Ce putain de gars s'appelle Johanssen.
Tara : Je veux pas savoir !
Max : Et bien sûr, aucun souvenir de ce qui t'est arrivé à cette école ? Son nom de famille est sur tous les putains d'immeubles.
Tara : C'est un putain de trou noir, Max. Le mois avant, et celui après. Il n'y a rien entre les deux. Tous les psys qui ont visité mon cerveau ont dit que j'ai oublié pour une raison. Je ne veux peut-être pas connaître cette raison.
Max : Je veux juste aider.
Tara : On dirait que tu as tous les films de John Wayne qui se jouent dans ta tête. Comme si t'étais un cow-boy et que tu arrives en ville sur ton grand cheval et que tu vas tout régler. Tu sais quoi ? Je suis pas ta ville.
Kate arrive chez Barnabeez.
Gène : Donc tu reprends le boulot ?
Kate : Comment t'as deviné ?
Gène : Tu dois être excitée de pas avoir école aujourd'hui ? Les jours de boulot des profs arrivent en second après les alertes à la bombe. C'était pas drôle. Mais tu sais ce qui l'est ? Demain soir, j'ai deux billets pour le spectacle d'impro de mon coloc Kurt. C'est génial. Tu vois, ils ont aucune idée de ce qu'ils vont dire.
Kate : En fait, je crois que je couve un truc. Désolée.
Gène : Ah ouais ? La dernière fois que tu as été malade, tu as fait une fête. Et tu vas couver ça jusque quand ?
Kate : Comme je saurais ? Je pense que c'est contagieux, de la salade au poulet qu'on sert, mais ça pourrait aussi être un staphylo. Tu sais, de l'ongle incarné de Gramble.
Gène : C'est de ma maison dont tu parles. Tu devrais rentrer.
Kate : Vraiment ?
Gène : Oui.
Kate : Tu vas jouer au docteur ?
Gène : Bien sûr que non.
Kate : Tu y pensais.
Jason range ses affaires, après avoir travaillé avec Marshall.
Jason : Je dois amener Kimmy à une connerie de gym, puis une connerie de pizzeria. Je reviens après, pour finir le projet, par contre.
Marshall : Ce projet de l'Enfer qui refuse de se terminer.
Jason : C'est cool. Je suis pas fâché.
Tara entre, elle parle au téléphone.
Tara : T'arrêtes pas de répéter "haut à paillettes," mais je suis sûre que T. n'a pas de paillettes. C'est pas Céline Dion. Je regarderai, et je te le mettrai de côté. Salut.
Jason : Bonjour, Mme Gregson.
Tara : Bonjour, Jason. Ravie de te voir.
Jason sort.
Tara : Il est mignon.
Marshall : Quoi ?
Tara : T'es sûr qu'il est sur le... marché ?
Marshall : Maman, ça m'aide follement. J'apprécie vraiment.
Tara monte rejoindre Kate dans sa chambre.
Tara : Tu cherches des vols pour Tokyo ?
Kate : Oui. C'est pas comme si j'avais les moyens avec mon salaire d'esclave. Et ça ? Un voyage en bus à Omaha, 45$. Avec un siège pliant gratuit.
Tara : Tu dois être désespérée. Il s'est passé quelque chose ?
Kate : Oui. Je pense avoir pris une mauvaise décision au boulot, donc là, je veux sortir de ma putain de peau. J'aimerais pouvoir m'en aller comme toi.
Tara : C'est pas aussi séduisant que ça en a l'air.
Kate : Sérieusement Maman, y a pas des moments où tu veux juste te barrer ?
Tara : OK.
Kate : OK quoi ?
Tara : Barrons-nous d'ici.
Kate : Sérieusement ?
Tara : Tu veux aller où ?
Kate : Tokyo ?
Tara : Plus près.
Kate : La Galerie de St Louis ?
Tara : La Batmobile part dans 5 min.
Kate : Super.
Tara et kate mettent leurs affaires dans la voiture, devant Marshall étonné. Puis Max arrive.
Tara : Hé, les petites poufs.
Kate : Merci.
Marshall : Petites poufs ?
Kate : Maman se la joue cool, car on part en voyage.
Marshall : Papa est au courant ?
Kate : Maintenant, oui.
Tara : Je sais que c'est bizarre, mais Kate et moi partons un jour ou deux.
Max : Vous deux, ensemble ?
Tara : J'ai besoin d'un peu d'air. Kate a son portable, et je répondrai au mien, OK ?
Max : OK. Je tente pas de t'arrêter. Pas comme si je pouvais. Je pourrais ?
Kate et Tara sont parties. Plus tard, Marshall fait du sport dans sa chambre, Max le rejoint.
Max : J'ai des trucs à faire, donc... je rentre plus tard, OK ?
Marshall : C'est plutôt vague.
Sur la route, Kate conduit.
Tara : Regarde-toi ! T'es mignonne. Tu conduis comme une petite vieille.
Kate : Maman, tu m'as jamais emmenée conduire. J'ai fait toutes mes heures avec Papa et ses théories de la conduite zen.
Tara : Je t'ai emmenée conduire.
Kate : Non. C'était Buck, tu te souviens ? En m'apprenant à faire un créneau, il a reculé dans la boîte aux lettres de M. Hubbard. Papa a bien pris qu'on parte, hein ?
Tara : Il s'inquiète tellement pour moi. J'ai eu... Ça fait beaucoup, ces derniers temps.
Kate : Maman, te stresse pas. Tu veux qu'on s'arrête là ? On jouera au casse-briques dans un bar de merde.
Tara : Merci, Katie.
Marshall rentre de son jogging, Charmaine arrive.
Charmaine : Où est ta mère ?
Marshall : Elle a fui le nid avec Kate.
Charmaine : Comment t'es habillé ?
Marshall : Je m'entraînais.
Charmaine : Oui ? Depuis quand ?
Marshall : Je ne sue pas beaucoup, depuis toujours, mais... Je reviens juste d'une course dynamique.
Charmaine : N'en fais pas trop, Marshall. T'es très mignon, OK ? Ça te va bien d'être mince.
Dans leur chambre, à l’hôtel.
Tara : Quelle vue splendide. Un salon de tatouage et un fast-food.
Kate : C'est parfait. Je vais me faire un tatouage pour célébrer notre sortie entre filles.
Tara : Sûrement pas, t'as 15 ans.
Kate : Oui, on peut m'en donner 18. Mon âme est vieille.
Tara : Ah bon ? Quel garçon t'a dit ça ? Tu fais quoi ?
Kate : Je vais nager.
Tara : J'ai pas pris mon maillot.
Kate : Alors, tu peux regarder la télé.
Charmaine fouille dans les affaires de T. à la recherche d’un T-shirt à paillettes.
Charmaine : Tu dois te concentrer sur ce qui fait ton charme. Force-toi à accepter les compliments.
Marshall : Ou je peux forcer les gens à m'en faire ?
Charmaine : C'est ce que j'ai compris ces dernières semaines. On me complimente, comme Nick Hurley, l'avocat écolo avec qui je sors ce soir, merci beaucoup. J'accepte, et je dis : "Je mérite les bonnes choses qu'on me dit." Ça va me permettre de mesurer le 1er effet poitrine. Je suis passée de 6 à 8 dans l'échelle sexy. Ce qui vaut un 11 à Overland Park. Il me faut de nouvelles règles, de plus hautes exigences. Je vais attendre 3 rendez-vous avant de laisser un mec me baiser. C'est inapproprié ?
Marshall : Je sais pas. J'essaie déjà de surmonter ta surprise des tétons d'anniversaire.
Charmaine : À moins qu'il me soûle, et là c'est foutu.
Max et Neil sont dans un bar.
Neil : Un cow-boy ? Ça veut dire quoi, putain ? Conneries.
Max : C'est quoi cette connerie ?
Neil : C'est la connerie, version femme. Ça sort quand je sens la connerie. Et là, je sens la connerie.
Max : Cette voix de femme est horrible.
Neil : Tu sais quoi ? Tu sais exactement ce qu'elle veut dire quand elle dit cow-boy. Tu vires les mauvais garçons, tu écris à l'éditeur. Tu te souviens quand le rasta s'était barré avec mon sac à dos,tu l'as poursuivi, tu t'es pris pour le Transporteur dans la rue ? OK, tu vois, tu peux rien y changer. Tu peux pas. Comme cette boisson que tu prends à chaque fois. Un Gin Tonic, c'est fait de Gin et de Tonic, tu mets pas de Sprite dans un Gin Tonic, putain de plouc. Fous le camp d'ici, et va te battre, putain.
L’hôtel organise un séminaire.
Kate : Je m'appelle Nordic.
Devin : Nordic ? C'est cool comme nom.
Kate : Ah bon ? Je le détestais tellement quand j'étais plus jeune, mais... je crois que maintenant, je m'y suis habituée. Nordic Hellmuth.
Devin : Vous faites quoi à Monte Carlo ?
Non, en fait, je suis de Québec. Mais je vis à Monte Carlo en ce moment. Il y a quelques années, j'ai vécu un truc dingue avec Lance Amstrong.
Devin : Sans blague !
Kate : Si, il est très ennuyeux dans la vraie vie, en fait.
Tara, qui a tout entendu, s’approche.
Tara : Je suis la mère de Nordic, Rula Hellmuth.
Devin : Devin.
Mike : Alors, on fait la fête ou quoi ?
Devin : Mike, voici Nordic, et sa mère, Rula ?
Tara : Bonjour, Mike.
Mike : J'aurais juré que vous étiez sœurs. Je peux vous offrir un verre, Mesdemoiselles ?
Tara : Non. Nordic est mortellement allergique, et je suis mariée, donc...
Devin : Pas grave. Mike est marié, aussi.
Mike : Vous savez ce qu'on dit : ce qui arrive dans un congrès...
Tara : Qui dit ça ? Vraiment, je veux savoir qui dit ça !
Mike : Non, j'ai une femme géniale, Rula, mais si Cindy était là, elle dirait qu'être marié ne devrait pas empêcher un gars d'apprécier une Margarita avec une femme adorable et aussi heureuse en mariage que vous. Hein, Ted ?
Devin : Complètement.
Mike : J'ai un tas de tickets boisson. Je suis haut placé chez Merck.
Tara : Fallait le dire plus tôt !
Jason est revenu travailler avec Marshall.
Marshall : Donc... j'ai du rhum, et du cognac.
Jason : Je vais tenter le rhum.
Gène entre dans la maison à ce moment.
Gène : Marshall, c'est ça ? Gene Stuart, le patron de Kate. De chez Barnabeez.
Marshall : Je sais.
Gène : Salut.
Jason : Salut.
Gène : J'ai apporté du bouillon de bœuf pour Kate, et un DVD des Griffin Elle dit qu'elle n'aime pas, mais faut juste qu'elle essaie. Je peux lui porter tout ça ?
Marshall : Oui, d'accord, mais là, elle n'est pas là.
Gène : Ah bon ? Elle est sortie ? Elle doit être chez le médecin. C'est pas grave. Je vais juste tout installer, comme ça, quand elle rentrera, tout sera prêt.
Marshall : OK, on va bosser sur notre projet.
Gène : Pas de souci. Faites ce que vous avez à faire, j'ai fini dans une minute. Je suis très à cheval sur la présentation. - Oh, ma petite Kat.
Au bar de l’hôtel
Mike : Je vais être honnête avec vous, Rula, ma Cindy a eu un petit coup de mou, mais à présent, 100 mg d'Ativan et un petit Zoloft, elle va super bien. Bon Dieu, si elle pouvait perdre 20 kg et arrêter de regarder « Derrick » tout le temps.
Tara : Je me demande où est passée Nordic ?
Mike : Ils sont partis il y a un moment.
Tara : Je reviens. Peut-être.
Max se présente à la réception de Johanssen Investments LDD.
Réceptionniste : Johanssen Investments. Ne quittez pas. Johanssen Investments. Ne quittez pas. Bonjour, je peux vous aider ?
Max : Trip Johanssen est disponible ?
Réceptionniste : Vous avez rendez-vous ?
Charles Johanssen : Je peux vous aider ?
Max : Trip ?
Johanssen : Je suis Charles Johanssen. Trip travaille au bureau de Chicago. Je peux vous aider ?
Max : Non. Non, merci.
Marshall et Jason, assis sur le lit, finissent de regarder un film.
Jason : C'était... un film superbe.
Marshall : Tu vois ? Le noir et blanc ne veut pas toujours dire que c'est horrible.
Jason : Non, j'ai jamais dit ça. Tu te fais cette idée de moi, mais c'est faux.
Marshall : Non, vraiment.
Jason : C'est cool. Je comprends. Je sais que je connais pas trop ce genre de trucs. J'étais jamais autorisé à aller chez des copains, car mes parents craignaient une mauvaise influence. Si je trouvais un copain sympa qu'ils appréciaient, on déménageait.
Marshall : Ça craint.
Jason : Il y a un bateau de pirates dans le cosmos sur ton plafond.
Marshall : C'est ma mère qui l'a peint.
Jason : C'est chouette. Ma mère s'en foutait de moi.
Marshall : Je pense que je gagne le concours de la mère la plus folle.
Jason : OK, mais je gagne celui de "Ma mère est une putain d'horrible personne."
Marshall : Aux problèmes de mère.
Jason : T'as de la chance, Marshall. Ta mère est là pour toi. Regarde ce qu'elle a fait pour toi.
Tara trouve Kate en train de flirter dans le jacuzzi avec Devin.
Tara : Nordic. J'ai lu dans Voici que Lance sort avec une des jumelles Olsen. Ce qui justifie totalement Sheryl Crow. Enfin, ce type ne va pas baiser tout le monde, si ?
Devin : Moi, je le ferais.
Tara : Je vois ça.
Kate : Une seconde, Dev. - Maman, arrête de me surveiller comme ça. Tu croyais vraiment que ce serait une de ces virées mère/fille "french manucure" ?
Tara : On parle de nous, là ! Tu fais quoi ? T'aimes même pas ce type. Et les bulles de ce jacuzzi ont des croûtes.
Kate : Tu fais ça tout le temps. Charmaine m'a dit que t'étais à fond avec ce skinhead au Sugar Shack...
Tara : C'était T.
Kate : Maman, j'ai le regret de t'annoncer que la personne qui est devant moi est la même personne qui était au Sugar Shack.
Devin : Te revoilà.
Kate : J'aime sortir une minute, puis revenir, et c'est chaud de nouveau.
Tara laisse la place à T. qui saute dans le jacuzzi en sus vêtements.
Devin : Je préfère rester, car c'est toujours chaud.
Kate : Maman, bordel !
T. : Ça roule ? Des pelles ? T'as l'air délicieux !
Kate : T. ! Sors de là ! Va choper ailleurs !
T. : Allez !
Kate : Non, c'est pas négociable. Dégage de suite de ce putain de jacuzzi, ou j'appelle Papa.
T. : Putain de rabat-joie !
T. sort, boudeuse. Kate reste mais soucieuse, elle va partir à la recherche de T.
Devin : J'ai sauté sur cette couleur personnalisée. Bleu-vapeur. C'est clinquant, je sais. Mais je veux pas être un de ces moutons qui viennent bosser en berline. J'ai personnalisé la plaque la semaine dernière, C'est écrit Dis-l'Heure. Deal...
Dans leur chambre, puis Kate trouve sa mère chez le tatoueur.
Kate : T. ?
Kate : Je t'ai cherchée partout. T., allez.
T. : Je crois que j'ai déjà donné mon accord. Allons-y, Luther. Fais-moi mal, bébé.
Kate : T., c'est le corps de Maman.
T. : Elle est dérangée mentalement. Multiples personnalités. Parfois, elle croit être ma fille. Parfois, elle prétend être une gamine coincée à Overland Park, et parfois, elle pense être une salope canadienne
Kate : C'est le sang de maman, sa peau,
T. : qui sortait avec Lance Amstrong.
Kate : les dents de maman, ses cheveux...
T. : Vas-y, Luther.
Luther : T'es sûre ?
Kate : Colle cette merde sous un microscope, et tu verras que c'est l'ADN de Maman. Tu n'es qu'un visiteur, et tu le sais.
T. : Putain !
Kate : Maman ?
Tara : J'ai ça sur moi ?
Luther : Non, pas encore.
Tara : Je vais passer mon tour.
Luther : Tu veux pas du dauphin qui baise la licorne sur ton cul, non plus ?
Tara : Non, merci.
En rentrant chez lui, Max croise Jason qui s’en va.
Max : Salut, Jason.
Jason : Bonsoir, M. Gregson. Comment allez-vous ?
Max : Pour être honnête, ça a été une drôle de journée. Content de te voir, par contre.
Jason : Merci, Monsieur.
Max : Non. Allez. Pas de "Monsieur", hein ?
Jason : Au revoir.
Max : Bonne nuit, mon pote.
Allongées sur leur lit, Tara et Kate regardent la télévision.
Tara : Il va baiser la tarte ?
Kate : Il ne va pas baiser la tarte !
Tara : Alors, pourquoi on regarde ?
Kate : Je sais pas.
Tara : Passe-moi la Néosporine.
Kate : Sans dec', maman, des tatouages assortis. Ce sera quoi, la prochaine ? Des piercings ?
Tara : Non, merci.
Kate : Papa va halluciner.
Tara : Il en a un.
Kate : Quoi ? Où ça ?
Marshall est dans la cuisine.
Max : Tout va bien par ici ? Maman a appelé ?
Marshall : Non, mais j'ai eu un SMS de Kate, qui me dit d'aller me faire foutre, donc je crois que tout va bien.
Max : Sympa. Toi, t'as fait quoi ?
Marshall : Jason est venu, on a regardé un film pour l'école, passé le temps...
Max : Oh, merde.
Marshall : Quoi ?
Max : T'es accro, c'est ça ?
Marshall : Je crois que c'est une possibilité indéniable.
Max : Oh, fiston. Rien de tel que l'amour.
Plus tard, Max laisse un message sur le portable de Tara.
Max : Il est tard, je sais. Je voulais dire que j'étais désolé pour aujourd'hui. C'était dur. Si tu veux que j'arrête de creuser, je peux. J'arrête. Amusez-vous bien dans les magasins, demain. Au revoir, je t'aime.